Résorbant mon esprit fécond, je prends l'envol linéaire vers cette phrase mentale qui s'annihile en toi. Veuve éthérée, diaphane sur l'orbe Céleste des Cicerons et des victorieux Alexandre de l'Histoire, je dépose en guise de tribut divin tous les Attila de mon cœur devant ton corps, coupe Sainte et mystérieuse. De Cancale au Mont de Montagny devant cette cathédrale montagneuse, j'absous avec ferveur devant ta bouche inquiète les rassurantes pensées d'un Atteius vainqueur, d'un Ptolémée convaincant, pour t'écrire au delà de moi-même, les mots bénéfiques de ce Nous transcendé... Oui je dépose sur ton corps l'absurde et la logique des milliers de livres lus ou pas... J'écris car je vis, je te vis, viens laisse-moi t'aimer sans l'amer, voilà tu vois ma chrysalide s'ouvrir, notre papillon s'envole vers l'ultime ... Bunkériser d'Hannibal pensées mon esprit s'évade courant de mille feux éternels, serein, poursuite vaine et folle de cet astrolabe volant après les miracles de ton Infini ma chérie, pour que tu cèdes le Divin en Nous.. Et pourtant tu es là , fière comme à notre première rencontre, pimpante telle une Reine sauvage et délicieuse, allez laisse le temps prendre soin de Nous ... L'Universelle tendance d'Union résorbe nos peurs fragmentées en un grand chant lancinant et fou dépassant l'Unité... Ivan Watelle. |